Nous voudrions saisir cette
occasion pour présenter nos
remerciements à nos parents
Monsieur Nsogo Aba’a Emilio et
Madame Nsang Mamiaga Marie
Qui reposent en paix dans le
village de Ntú Angok, district
d’Ebebiyin, province de Kie Ntem
et pour leur grande hospitalité,
encouragement et appui moral
pour que le projet de
publication de cet ouvrage soit
réalisé.
Nous voudrions en outre
féliciter à notre aimable fils
unique, appelé
Juan Desta Manene plus connu par
le surnom de « Trésor »
Enfin, c’est à mon feu épouse,
Madame Desta Mechecha
que nous devons une vive
gratitude, pour sa contribution,
à tous les niveaux avant son
décès afin que nous puissions
mener à bien ce projet à sa
conclusion
SOMMAIRE
Pages
Introduction
4
PREMIERE PARTIE : ETUDE ET ANALYSE
STRUCTURELLE ET FONCTIONNELLE DE LA
MONDIALISATION
22
Chapitre I.- L’approche théorique de la
Mondialisation
23
A).-
Définition, origines et évolutions de la
Mondialisation
24
B).- L’aspect historique
26
C).- La Mondialisation est-elle un mal
nécessaire,
29
d).- L’économie
virtuelle
32
Chapitre II.- La Mondialisation
économique et l’Euthanasie des réseaux
mafieux
36
A).- Le positionnement devant la
mondialisation
37
B).- La Mondialisation peut-elle lutter
contre la
corruption ?
44
C).- L’économie politique dans les
rouages de la mondialisation
46
A).- Les différents aspects de la
mondialisation contemporaine
52
B).- Les aspects institutionnels de la
mondialisation
55
C).- Etude et analyse de la situation
géopolitique
60
Chapitre IV.-La Migration et la
mondialisation
65
A).- Les rapports entre La Migration et
la
mondialisation
66
B).- La déconstruction des discours
dominant et des
évidences
67
C).- Les immigrations acteurs des
sociétés et de la
planète
70
Chapitre V.- La mondialisation et la
globalisation
73
A).- Analyse fonctionnelle entre la
Mondialisation et la
globalisation
74
B).- La Globalisation de
l’économie
76
C).- La Pensée
Unique
79
D).-
L’Altermondialisation
83
Chapitre VI.- La Mondialisation de
l’information et de la
Communication
86
A).-L’économie de savoir et les
Nouvelles Techniques
de l’information et de la
Communication
87
B).- La dématérialisation et son
patrimoine
102
C).- Etude structurelle et fonctionnelle
du
papier
108
D).- Les effets pervers des NTIC
117
E).- Le protocole IP : Définition,
structure et divers
fonctionnement
126
DEUXIEME PARTIE : L’AFRIQUE DANS LA
NOUVELLE ECONOMIE MONDIALE
137
Chapitre VII.- La place de l’Afrique
dans la Mondialisation
138
A).- La dépendance internationale de
l’Afrique
139
B).- La bonne
gouvernance et la
Mondialisation
148 C).- La richesse de la pauvreté en
Afrique centrale
151
D).- La Mondialisation est-elle une
ennemie de
l’Afrique ?
155
E).- Le plaidoyer pour la Mondialisation
capitaliste
161
Chapitre VIII.-Les Rapports entre la
mondialisation et
l’Afrique
173
A).- La Mondialisation : un préjudice
sur le développement humain en
Afrique
174
B).- L’accroissement inestimable des
émigrations
africains
176 C).- La
tentative de politique Africaine sur la
Mondialisation
182
D).-L’Afrique : Mondialisation, économie
et
culture
189
Chapitre IX.- L’Afrique :
Les NTIC et aide
publique
192
A).- Les NTIC et le développement humain
en
Afrique
193
B).- Peut-on construire une société du
savoir en
Afrique ?
203
C).- La construction d’une société du
savoir dans les pays en développement (PED)
207
D).- Le rôle de l’aide publique au
développement
209
E).- Que faut-il faire pour la
recherche en
Afrique ?
212
Chapitre X.-
L’impact de la Mondialisation et des
NTIC en Afrique
215
A).- L’Afrique semble mal partie dans la
mondialisation
216
B).- L’Afrique devrait-elle attendre à
subir les effets de la
mondialisation?
220
C).- Les innovations et la créativité en
matière des accès aux NTIC en
Afrique 222 D).-
Les futurs rapports entre les NTIC et
l’Afrique
225
E).- Les usages intégrées de l’internet
et de la
mondialisation
234
Chapitre XI.- Où en est l’Internet en
Afrique ?
238
A).- L’Afrique et les NTIC
239
B).- Des NTIC et du développement en
Afrique
242
C).- Les enjeux des NTIC au 3ème
Millénaire en
Afrique
247
D).- La fête de l’internet en
Afrique
257
Chapitre
XII.- La Situation sociopolitique des
NTIC et fonctionnement de la
mondialisation
260
A).- Les enjeux sociopolitique des NTIC
en
Afrique
261
B).- NTIC, démocratisation et sociétés :
de l’abdication de l’Etat à la
régulation par le bas
262
C).- Les conséquences de la
mondialisation de l’économie de
l’information dans le processus de
démocratisation en
Afrique
265
D).- Le localisme globalisé et le
globalisme
localisé
271
Chapitre
XIII.- La politique africaine et la
mondialisation
279
A).- L’éducation africaine et la
mondialisation
280
B).- L’entreprise face à la
mondialisation et aux NTIC
285
C).- Des infrastructures
adaptées
290
D).- Autres analyses de la situation
294
Conclusion
297
Références Bibliographies
308
INTRODUCTION
Le présent
ouvrage est le résultat d’une petite partie
d’étude et analyse réalisée par M.MANENE
N.JUAN, un ancien étudiant en Sciences
Economiques, diplômé de l’Université de la
Franche Comté, qui tente d’analyser le
fonctionnement et l’impact social de la
mondialisation qui est devenue comme un
panache dans le commerce international.
Contexte et
intérêt de notre étude et recherche
Contexte
Le commerce
international constitue une activité
capitale ayant de répercussions
considérables et diverses dans la vie des
peuples. Dans certaines circonstances, il
permet de stimuler le développement général
des États, et débouche sur la croissance de
l'économie, de l'emploi et du bien-être des
populations. Dans d'autres contextes
cependant, le commerce international peut
s'avérer inapproprié aux conditions qui
déterminent le mode de vie des peuples de
certains pays. Il peut alors dans ce cas
devenir une force destructrice redoutable,
contribuant à la paupérisation et à
l'inégalité des populations de ces pays.
Du point de
vue économique, le commerce international
est "analysé en termes de flux des biens,
des services, de monnaie (et) des facteurs
de production, entre États-Nations"[1]. Les
États, ainsi que les peuples qui décident
d'entrer en échange avec d'autres Nations,
en tirent des avantages certains pour leur
développement économique et leur bien-être
social.
En effet,
la théorie économique postule que le
libre-échange constitue "un choix de
politique économique tout naturel, puisque
les modèles prédisent une augmentation du
bien-être des pays prenant part à l'échange,
peu importe leur dotation initiale en
ressources"[2]. D'une manière plus
spécifique, le libre-échange "contribue à
augmenter la productivité et l'innovation au
sein d'une économie en stimulant la
concurrence "entre les différents pays.
Dans cette
optique, "une augmentation du commerce entre
les pays développés et les pays en voie de
développement devrait logiquement provoquer,
à long terme, une hausse de la rémunération
de la main d'œuvre dans ces derniers et une
baisse relative dans les pays
industrialisés, entraînant du même coup la
convergence des revenus entre les États".
Ce sont ces
objectifs majeurs qui, dès 1947, seront
poursuivis par ce que l'on a appelé le
General Agreement on Tariffs and Trade [3],
en sigle le GATT. Ce premier et principal
instrument de libéralisation du commerce
mondial sera remplacé en 1995 par
l'organisation mondiale du commerce, en
sigle O.M.C, "une institution beaucoup plus
puissante puisqu'elle est dotée d'un organe
de règlements de différends"[4] aux pouvoirs
très étendus, censé favoriser davantage la
libéralisation du commerce
Au regard
du mandat confié au GATT, "le commerce
devrait être orienté "vers le relèvement des
niveaux de vie, la réalisation du plein
emploi et d'un niveau élevé et toujours
croissant du revenu réel" pour les habitants
des pays qui abaissent les barrières
tarifaires et ouvrent leurs économies"[5].
L'organisation mondiale du commerce avait
élargi ce mandat en reconnaissant la
nécessité pour les États membres de "faire
des efforts positifs pour que les pays en
développement, et en particulier les moins
avancés d'entre eux, s'assurent une part de
la croissance du commerce international qui
corresponde aux nécessités de leur
développement économique" [6].
Pourtant,
l'Afrique noire subsaharienne, "où vit près
d'un quart de la population mondiale qui
souffre de la faim, a vu [...] ses pays
s'appauvrir entre 1980 et 1996, précisément
durant la période où la libéralisation des
échanges a progressé le plus rapidement"[7].
De plus, il a été observé que "la valeur
relative des catégories de biens que les
pays en développement exportent,
comparativement à ce qu'ils paient pour
leurs importations, diminue constamment,
défavorisant les pays pauvres dans les
échanges internationaux"[8]. Un rapport des
Nations unies note à juste titre que "la
détérioration tendancielle des termes de
l'échange de l'Afrique (subsaharienne) est
une cause importante de la marginalisation
de la région dans le commerce
international"[9].
La réalité
est que l'ouverture des frontières au
commerce international s'est principalement
limitée aux pays développés durant les trois
premières décennies de l'après-guerre.
Certains théoriciens, comme l'économiste
Joseph Stiglitz [6], n'hésitent plus à
affirmer que "la libéralisation commerciale
a été programmée par les pays occidentaux
pour les pays occidentaux"[10].
Cependant,
dans les années 80-90, sous la pression
d'institutions financières internationales,
notamment la Banque mondiale et le Fonds
monétaire international, les pays en voie de
développement se sont massivement engagés
dans la logique libre-échangiste. Engagés
dans un processus forcé de remboursement
d'une dette extérieure écrasante, les pays
en voie de développement se sont vus imposés
par la Banque mondiale et le Fond monétaire
international, des politiques de
libéralisation commerciale et des politiques
économiques restrictives aux effets
dramatiques pour leurs populations.
Ces
réformes économiques, débutées en Afrique
subsaharienne au milieu des années 80,
avaient pour objectif essentiel de mieux
intégrer les pays africains "à l'économie
mondiale par le commerce et les flux de
capitaux, pour assurer une croissance
soutenue et réduire la pauvreté"[11].
Cependant,
les pays d'Afrique subsaharienne ont
progressivement affiché de médiocres
performances sociales et économiques que les
dirigeants des pays développés et les
spécialistes des institutions financières
internationales justifient par "les
faiblesses structurelles de l'Afrique
subsaharienne et la rigidité des systèmes
politiques et économiques dominés par
l'État"[12].
Face aux
résultats décevants des plans d'ajustement
structurel imposés aux États d'Afrique
subsaharienne dans le but inavoué de
récupérer la dette des pays riches, la
Banque mondiale et les États développés ont
résolu de réorienter leurs interventions
dans les pays en voie de développement en
transposant la responsabilité de l'échec du
modèle de développement libre-échangiste sur
les dirigeants africains qualifiés
d'inefficaces et de corrompus.
Le débat
sur l'interaction entre la démocratie et
l'économie de marché, et l'influence que la
première exerce sur la seconde, fait
aujourd'hui l'objet de plusieurs réflexions
parmi les nombreux auteurs du développement.
L'idée maîtresse qui sous-tend ce vaste
sujet traitant de la corrélation entre la
bonne gouvernance et le processus de la
mondialisation, postule que la transparence,
la responsabilité et la participation dans
la prise de décision politique ont un effet
direct positif, non seulement sur le
développement d'un marché équitable, mais
aussi sur le climat d'investissement dans
les pays.
Cependant,
il semble que ce concept de bonne
gouvernance soit perçu par les acteurs
internationaux comme une simple étape
nécessaire à l'adaptation des économies des
pays pauvres au nouvel environnement
international néolibéral, dans lequel
disparaît le rôle redistributif de l'État au
profit des acteurs économiques privés. Cette
recherche de la bonne gouvernance en vue de
promouvoir le modèle économique libéral
devient finalement un leitmotiv pour les
bailleurs de fonds des pays développés qui
en font une conditionnalité politique à
leurs programmes d'aide et d'investissements
en faveur des États africains.
L'accroissement de la pauvreté et des
inégalités, la dégradation des conditions
sociales de la majorité des populations
défavorisées de l'Afrique subsaharienne,
sont les conséquences observées dans ce
modèle d'intégration des sociétés africaines
dans l'économie mondiale.
L'intégration de l'Afrique subsaharienne à
la mondialisation économique semble de plus
en plus compromise. De nombreux
scientifiques viennent même à contester son
efficacité pour le développement de
l'Afrique et en appellent à d'autres
stratégies et mécanismes de développement
pouvant mettre fin à la dépendance
internationale des États africains.
L’Intérêt de notre étude et
recherche
L'intérêt
scientifique de notre étude et recherche,
ainsi que les objectifs poursuivis, se
situent au niveau de l'impact que pourrait
avoir notre analyse dans les choix
politiques des dirigeants du monde entier
dans le cadre de la mise en œuvre des
stratégies et mécanismes permettant à la
mondialisation d’être outil et au profit de
toute l’humanité.
Il est
évident que les pays en développement
doivent intégrer le marché économique
mondial, mais cela devra se faire de manière
réfléchie, adéquate, transparente,
responsable, judicieuse et au mieux des
intérêts et du bien-être de leurs
populations dont les droits fondamentaux
aussi bien civils que sociaux, économiques
et culturels, doivent être garantis et
assurés. Notre étude et analyse
s'efforceront de susciter une réflexion
ultérieure plus approfondie sur les moyens
adéquats d'y parvenir.
L'intérêt
de notre étude et analyse est également
personnel. En effet, notre propre expérience
professionnelle dans le domaine d’analyse
des grands projets financés par les
bailleurs dans notre pays, Guinée
Equatoriale, a forgé en nous une certaine
opinion assez précise sur la corrélation
entre la mondialisation et la bonne
gouvernance dans le monde.
Les
lecteurs ciblés par cet ouvrage économique
sont nombreux, entre autre:
Ceux
ou celles qui auront le plaisir de
découvrir une concentration de données
sur le fonctionnement et l’origine de la
mondialisation.
Les
scientifiques et les chercheurs de tous
les domaines de spécialité qui
aimeraient allonger la liste de leur
espace de recherche.
Les
économistes, les programmeurs, les
spécialistes du tiers monde et
particulièrement, qui souhaiteraient
confirmer leur hypothèse de départ pour
aboutir à une conclusion plus viable.
Enfin,
tous ceux ou celles qui aimeraient lier
le plaisir à l’utile ne seront pas déçus
de cette lecture agréable, riche en
information et utile.
Cet ouvrage espère mettre en évidence les
multiples obstacles épaulés aux mécanismes
d’application de la mondialisation et de la
globalisation dans le monde.
La
Méthodologie
La
méthodologie que nous avons envisagé
d'adopter dans notre travail repose sur une
grille de lectures aussi diversifiée
qu'abondante consacrée à la mondialisation,
à la globalisation, à l’économie de savoir,
à la bonne gouvernance, etc.. Nous tenterons
ainsi d'aborder notre étude et analyse à la
lumière des postulats théoriques économiques
sur la mondialisation et la bonne
gouvernance.
Nous aurons
également à recourir aux travaux de
recherches sociologiques relatives à la
gestion de la chose publique et aux rapports
d'enquêtes politiques menés par d’autres
analystes dans la matière, Nous appuyons
enfin de notre magne expérience personnelle
que nous avions eu pendant un quart de
siècle dans les traitements des dossiers des
bailleurs de fonds.
Nous
proposerons dans notre travail, d’analyser
le dynamisme, d’introduire et de diffuser
les structures de la mondialisation et des
NTIC en Afrique.
L’Objectif
final de cet ouvrage est en effet de
contribuer à une plus grande ample
rechercher sur le développement du système
de la Mondialisation et les Ntic en Afrique
dans son ensemble, nécessaire à notre avis
pour établir de façon spécifique quel peut
être l’apport donnée par l’implémentation de
ces deux concepts nouveaux : la
mondialisation et les NTIC dans le
développement économique et social des pays
du continent noir.
Pour mieux
comprendre comment fonctionne les directives
de la politique de « Mondialisation», nous
vous invitons à lire le contenu de cet
ouvrage qui s’articule en deux parties,
Treize chapitres, une Conclusion générale et
d’une bibliographie très riche et parfois
électroniques sur les thèmes évoqués dans
notre ouvrage.
PREMIERE
PARTIE : ETUDE ET ANALYSE STRUCTURELLE ET
FONCTIONNELLE DE LA MONDIALISATION.
Dans un
premier temps, nous étudierons et
analyserons au cours de Six premières
chapitres de notre ouvrage de plusieurs
facettes de la Mondialisation: on parlera
comment la Mondialisation est née, son
évolution, son acceptation et son refus.
Ensuite, on analysera de l’ambigüité de la
mondialisation et après On verra comment
l’économie virtuelle prend de l’ampleur. De
l’économie internationale nous verrons
comment la mondialisation est venue
s’imposer. Une analyse sur la mondialisation
comme contrainte sera passée de revu. Nous
aborderons de la mondialisation économique
et de l’Euthanasie des réseaux mafieux, en
passant par le positionnement, la lutte
contre la corruption et les rouages de la
mondialisation d’une façon générale. On
essayera d’analyser et d’étudier les grandes
mutations de l’humanité provoquée par
l’implémentation de la mondialisation. Une
étude profonde sera effectuée sur les deux
concepts : mondialisation et globalisation.
Nous étudierons comment la mondialisation a
fait naissance des nouveaux outils :
l’économie de savoir, les nouvelles
techniques de l’information et de la
Communication (NTIC). Pour achever cette
partie, on fera de revu sur la
mondialisation comme opportunité qui a
engendrée les NTIC.
DEUXIEME
PARTIE : L’AFRIQUE DANS LA NOUVELLE ECONOMIE
MONDIALE
Dans un deuxième
temps, nous étudierons et analyserons dans
les huit derniers chapitres de notre
ouvrage, du rôle de spectateur que l’Afrique
joue dans les rouages de la mondialisation.
On verra comment l’Afrique patine pour
prendre son wagon dans le train de la
mondialisation en passant par la stratégie
des NTIC au défi de la mondialisation ainsi
qu’aux
Rapports entre la mondialisation et
l’Afrique. Nous
verrons comment la richesse d’un continent
peut –elle devenir une source de la pauvreté
et de la misère de ses habitants. Nous
ferons en outre une sorte de plaidoyer dans
la mondialisation capitaliste
en poursuivant votre recherche sur l’impact
en Afrique de la mondialisation et des NTIC
sans oublier l’aide publique au développent
en Afrique.
Nous aborderons longuement ces sujets en
passant de l’économie de savoir, à la
dématérialisation et en démontrant comment
les NTIC ont bouleversée la planète sans
oublier ses effets pervers. Nous parlerons
de la cybercriminalité, de l’internet, de la
sociologie africaine et de la politique
africaine fasse à la mondialisation.
Nous
tirerons la conclusion générale en voyant
comment la
mondialisation est entrain de d’étouffer les
deux tiers du monde en perdition et d’une
façon pernicieuse. En outre, nous
analyserons d’une façon impuissante, commentla mondialisation est entrain de
bouleverser les acquis du monde, en
étouffant une partie de la population du
monde. Allons s’y dans un monde sans pitié
où la délocalisation fait trembler les
travailleurs des pays industrialisés et
semble entre le bonheur des pays récepteurs.
Enfin, Nous
dresserons une liste de Références
Bibliographies (*)
____________________________
[1] Anonyme, Commerce extérieur, économie
informelle, développement local : théorie et
orientation conceptuelles, p. 19, in Projet
BICTEL/e, Bibliothèque interuniversitaire de
la Communauté française de Belgique.
Disponible sur :<
http://edoc.bib.ucl.ac.be:81/ETD-db/collection/available/
BelnUcetd-06232005-202309/unrestricted/PI.Chapitre1.pdf>,
consulté le 17 mai 2006.
[2] Bolduc David, Ayoub Antoine, La
mondialisation et ses effets : revue de la
littérature, p. 30, novembre 2000.Disponible
sur : , consulté le 17 mai 2006.[3] Idem[4]
Held David, McGrew Anthony, Goldblatt David,
Perraton Jonathan, Global Transformations,
Stanford University Press, Stanford, 1999,
cité par Bolduc David, Ayoub Antoine, op.
cit., p. 30
[3] En français : Accord général sur les
tarifs douaniers et le commerce
[4] Bolduc David, Ayoub Antoine, op. cit.,
p. 31
[5]
Sreenivasan Gauri, Grinspun Ricardo,
Mondialisation du commerce - Mondialisation
de la pauvreté. Les enjeux pour le Canada :
perspectives des ONG, in en commun - une
action mondiale contre la pauvreté, Conseil
canadien pour la coopération internationale
(CCCI), 2002, p.2
[6]
Préambule de l'Accord instituant
l'organisation mondiale du commerce, p. 11.
Disponible sur : http://www.wto.org/french/docs_f/legal_f/04-wto.pdf,
consulté le 20 mai 2006
[7]
Rapport FAO, 1999, cité par Sreenivasan
Gauri, Grinspun Ricardo, op. cit., p. 3
[8]
Le développement économique en Afrique :
Bilan, perspectives et choix de politiques
économiques, Conférence des Nations unies
sur le commerce et le développement, UNCTAD/GDS/AFRICA/1/TD/B/48/12,
Nations unies, New York et Genève, 2001, p.
31
[9] J. Stiglitz est un ancien économiste
en chef de la Banque mondiale, ancien
conseiller économique du président américain
Clinton, et co-lauréat du prix Nobel
d'économie en 2001.
[10] Stiglitz Joseph, "La libéralisation
a été programmée par les pays occidentaux
pour les pays occidentaux", propos
recueillis par L. Caramel et M. Laronche, in
Le Monde, supplément économie, 6 novembre
2001, p. 111.
[11] Kayizzi-Mugerwa Steve,
Mondialisation, croissance et inégalité des
revenus : l'expérience africaine, in Kohl
Richard (dir.), Mondialisation, pauvreté et
inégalité, Centre de développement de
l'organisation de coopération et de
développement économiques, Paris, les
Éditions de l'OCDE, 2003, p. 51
[12] Kayizzi-Mugerwa Steve, op. cit.,
p.53
(*).-
Extrait de l’ouvrage Intitulé :
LA MONDIALISATION ET LES NTIC EN AFRIQUE
Economiste &
Consultant International
Email: Ge-infonet@guineequatoriale-info.net